• Dr HAMER

    Par Massalis dans Accueil le 18 Octobre 2017 à 15:32

    A l'heure où la médecine découvre, et s'approprie la théorie du stress oxydatif, les partisans du Dr HAMER sont encore inquiétés...

    Revenons sur le contenu de ce qu'on a appelé la "Loi d'Airain" :

     

     

    Le Dr Hamer a soutenu en octobre 1981 une thèse de doctorat à l'université de Tübingen dénommée "Loi d'airain du cancer". On peut la résumer brièvement en 5 points :

    Aucun cancer d'aucune sorte, et quelle que soit sa localisation, ne se déclenche si trois conditions ne sont pas réunies, para 1 à 3 :

    • 1/un conflit généralement hautement dramatique, conflit durable, accompagné d'un état d'isolement qui ne permet pas de s'en ouvrir à d'autres.

    • 2/ Ce conflit atteint une zone de l'encéphale variable suivant la nature du dit conflit. Celle-ci se trouve alors dans un état d'épreuve tel qu'elle donne des " directives " anarchiques aux cellules de l'organe dépendant de cette zone du cerveau. Privées de commande ordonnée, ces cellules se mettent à proliférer en tous sens : c'est un cancer.

    • 3/ Si le conflit se complique de nouveaux conflits secondaires (par exemple l'angoisse d'apprendre qu'on a un cancer), une nouvelle zone du cerveau peut être atteinte, et une nouvelle tumeur naîtra dans l'organe correspondant (ce qu'on appelait " métastase ").

    • 4/ Dès que le conflit cesse, la zone du cerveau perturbée arrête de donner des ordres anarchiques. Les cellules cessent de proliférer anarchiquement. Le cancer est stoppé.

    • 5/ Après l'arrêt du conflit, la zone perturbée du cerveau met un certain temps à récupérer. Pour guérir, elle attire à elle un supplément de " liquide " cérébral. Il y a un œdème de guérison. C'est cet œdème, visible au scanner, qui aurait permis à Hamer de localiser avec précision les zones touchées par chaque espèce de conflit, et les organes correspondants atteints à leur tour.

    Il ne s'agit évidemment que d'un aspect de la carcinogenèse, mais il mérite largement que l'on prenne en considération ne serait ce qu'à titre d'objectivité intellectuelle.

     

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