• Le Daïmon de Sodome

    Le Dragon de Sodome 

    Les agissements des puissances infernales sont de plus en plus visibles. Certains "grands" de ce monde décadent ne cachent même pas leur allégeance à Baal/Moloch.
    Voici un article de Joël Labruyère, auteur très controversé, car il met en lumière certains agissements de l'occulte.
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    Lorsque des hommes défilent dans la rue sous la bannière de la Gay Pride, ce qui signifie « fierté homosexuelle », y a t-il une raison d’être fier ?

    La liberté de ses mœurs ne regarde que l’individu, mais les aspects ésotériques (Ndr : cachés, occultes) de cette question, en dehors de toute intransigeance morale, sont très intéressants à examiner pour sortir des clichés et des préjugés attachés à l’homosexualité. Tout s’explique. Il existe sur la dimension invisible qui correspond à notre corps émotionnel - dont découlent nos tendances sexuelles - nombre de formations énergétiques qui sont de véritables « daïmons » de l’astral. Il s’agit des zones inférieures de l’astral où les désirs et les passions concentrés au fil des millénaires, ont formé des systèmes énergétiques puissants (Ndr : égrégores) qui ont peu à peu pris leur autonomie. On peut dès lors considérer ces formations énergétiques comme des démons de la sexualité, quoique certains les prennent pour les divinités du plaisir.

    A chacun ses goûts et ses dégoûts. Il y en a pour toutes les tendances, et les plus effrayantes de ces formations astrales sont celles qui proviennent du viol, du crime, et de l’agression envers l’innocence sous toutes ses formes. Le désir sexuel ordinaire, qu’on dit naturel, est représenté par de nombreuses entités vampiriques qui vivent en soutirant l’énergie sexuelle de l’humanité. Ce sont les démons du bas astral, auxquels la nourriture ne fait jamais défaut tant que la reproduction de l’espèce est assurée par la voie de l’accouplement sexuel. Bien entendu, il y a la sexualité naturelle, mais il y a aussi celle qui déborde en obsessions malsaines, générant des déviances qui nourrissent des démons grotesques et parfois abominables vivant des vices qu’ils entretiennent. Nul être normalement constitué n’échappe à l’emprise de ces influences astrales, et la continence alimente aussi des formations astrales comme celles du refoulement qui sont loin d’être aussi pures que le voudraient les ascètes et les abstinents. L’hypertrophie de la fonction sexuelle dans l’humanité est une anomalie entretenue par des égrégores du bas astral. Souvent, nous ne faisons qu’obéir aux suggestions érotiques de ces entités sur notre corps du désir qui est poussé à l’acte, parfois contre notre volonté. En dehors de l’attirance entre des êtres qui s’aiment, c’est par la stimulation d’images mentales que cette pression s’exerce, souvent de manière anormale, hors de propos, et avec une insistance qui pousse à la satisfaction à tout prix.

    Il y a le désir naturel, mais il y a aussi l’obsession qui génère la perversité, la recherche de situations étranges permettant de rompre la monotonie de l’acte normal. Notre culture marchande a vu tout l’intérêt à retirer d’une stimulation érotique quasi permanente. L’érotisme et la pornographie visent à intensifier artificiellement le désir et la pulsion sexuelle, afin de maintenir le niveau de conscience à un seuil vibratoire contrôlable par les puissances économiques, politiques et occultes. Cela profite aux entités du bas astral qui renforcent ce processus en générant dans notre culture toutes sortes d’idées scabreuses et de fantasmes débiles. Ces idées sont reprises par les publicitaires et les créateurs qui font les modes. Tout tourne autour de la sexualité, et des démons féroces, endormis depuis des siècles, sont re-stimulés - comme la pédophilie et l’homosexualité. De pratique marginale et honteuse (seulement aux yeux du peuple), elle est devenue publique et honorable, et exige de devenir une norme. Le corps astral de l’homosexuel a subi une modification qui lui fait désirer son semblable. Au plan ésotérique, son corps émotionnel est polarisé en sens contraire du mâle ordinaire. Son désir est inversé.

    Certains naissent avec cette caractéristique, d’autres la développent par l’habitude homosexuelle contractée durant leur jeunesse. Il y a évidemment diverses catégories, allant de l’homosexualité exclusive à la pratique occasionnelle. L’inversion du corps astral présente certaines particularités dont la plus remarquable est une liaison intensifiée avec la dimension matérielle de l’existence. Dans cette situation, le corps astral est tourné vers la matière, et les aspirations matérielles sont intensifiées, ce qui explique pourquoi les homosexuels savent s’organiser sur le plan physique grâce à leur lien avec la réalité tangible. Cette situation est symbolisée par le « péché de Sodome » - l’attachement aux valeurs matérielles et aux jouissances sensuelles, ce qui n’exclue pas la bonté, la générosité ou d’autres qualités humaines. Les individus ne sont pas en cause. Nous parlons de pratique sans jugement moral. Sur le plan occulte, la pratique de la sodomie est un acte magique qui entraîne des effets cristallisants sur les corps subtils. Depuis l’antiquité, certains occultistes ont manipulé les jeunes gens par cette pratique afin d’obtenir leur soumission. La sodomie peut éveiller l’énergie de kundalini, et pratiquée selon certaines règles ésotériques, elle fait dévier l’énergie vitale dans une direction voulue. C’est de la magie noire absolue, l’inversion des forces de conscience dans un but matériel.

    Au fur et à mesure que des êtres ont pratiqué ce « rite sexuel », depuis les temps anciens, il s’est formé une concentration énergétique sur le plan astral. Ainsi est né le daïmon de l’homosexualité. Pendant un cycle d’évolution, ce daïmon demeure assoupi car trop peu d’êtres sont touchés par la pratique qui lui donne sa vitalité. Depuis un siècle, cette tendance a été revivifiée, à partir de loges d’occultistes (souvent anglo-saxons) regroupant une élite décadente, entichée de magie sexuelle. D’abord, réservée à des initiés, la pratique s’est vulgarisée, et a touché des couches de populations jusqu’ici moralement hostiles à l’homosexualité, jusqu’à devenir une mode officialisée par l’exemple de nos « gardiens de la culture ». En peu de temps, grâce à une campagne de subversion révolutionnaire, le daïmon a considérablement augmenté en puissance. Il s’est alors élancé avec voracité à l’attaque de la jeunesse, après qu’on ait levé toute objection morale et les préjugés.

    On en est arrivé aujourd’hui au point où cette pratique ne peut faire l’objet d’un débat contradictoire sous peine de poursuites pour discrimination. Cette intolérance devrait nous alerter sur le but de la propagande homosexuelle. Pourquoi le daïmon ne tolère t-il aucune contestation ? Parce qu’il veut devenir une norme, et finalement LA norme. Les psys ne tarissent plus d’éloges sur la décomplexion procurée par les « plaisirs de Sodome ». Des journaux pour adolescents expliquent « comment s’y prendre ». Cette arrogance s’affiche sur les écrans et sur la place publique. On organise des débats autour du thème : « mieux vivre son homosexualité ».

    On la valorise, on la recommande, on l’impose presque en interdisant la critique au nom d’un étrange délit « d’homophobie ». Interdiction d’expliquer que la sodomie est une pratique ayant pour but d’inverser la conscience vers le plan matériel afin d’en obtenir plus de gratification ! Est-ce là un jugement moral ? Non, mais comme ce daïmon est parmi les plus virulents du monde astral, il craint qu’on démasque son but de subversion de la conscience et d’inversion des processus naturels dans un sens strictement matérialiste. Il cache ses buts réels. La nature est ainsi faite que la vie naît de l’union des sexes opposés. L’homme et la femme symbolisent les deux principes créateurs dans l’univers. Rien ne pourra changer l’ordre naturel. Le daïmon astral de la sodomie peut dévorer ses victimes, il sera renvoyé un jour dans les zones infernales où il est né. Demandons-nous ce qui est à l’origine de cette tendance sexuelle inversée ? Pourquoi les grecs ont-ils été touchés par l’homosexualité ? C’est dans la civilisation grecque que la conscience a pris possession de la réalité tangible jusqu’à s’identifier au corps et à la matière.

    Les grecs sont les premiers à avoir représenté le corps de manière réaliste, tel qu’il se présente sous sa forme apparente. Contrairement aux civilisations précédentes, ils ont cultivé l’aspect physique de la réalité, et cela a entraîné l’idéalisation de la forme corporelle. Avant les grecs, le corps était seulement symbolisé, comme en Égypte. Ce culte de la forme a entraîné un amour narcissique de l’homme pour son propre corps et pour celui de son semblable. Cet amour de soi a évolué en une philosophie qui divinise l’apparence formelle. Depuis les grecs, l’homosexualité est du matérialisme exacerbée. Refusant l’ordre naturel, l’homme s’est dit : pourquoi ne serai-je pas un dieu ici-bas, dans la nature terrestre ? Ce culte narcissique est la racine de l’homosexualité Puisque l’union physique entre personnes de même sexe génère des énergies non intégrables dans l’évolution régulière, il s’est créé une formation astrale anormale. Ce daïmon exige désormais un statut, des sacrifices, des prêtres, bref, il veut être reconnu comme la religion de Sodome. Aujourd’hui, rempli d’arrogance, il se sent d’attaque à dévorer la moitié du genre humain. Cela ne peut aboutir, mais en attendant, des puissances occultes tirent avantage de l’homosexualité dont les adeptes sont les médiums d’idées décadentes nous faisant glisser dans un matérialisme étouffant et l’oubli de notre vraie nature ainsi que du but de la vie.

    En dehors du préjugé moral, il faut dire que cette pratique est dangereuse si on la considère sous l’angle de la conscience. Le daïmon astral veut nous enfermer dans l’impasse matérielle. C’est pourquoi nous devons l’identifier pour ce qu’il est. Les lois qui tentent de nous interdire de contester ou simplement de nous protéger de la pratique homosexuelle, préparent le règne de Sodome, l’enfermement dans un système matériel clos. La ville de Sodome est le point géographique terrestre le plus bas au dessous du niveau des mers ! Sodome symbolise le nadir de l’involution. Étymologiquement, en hébreu cabalistique, SoDoM signifie « enfermement dans le sang » - c’est une maladie de l’âme (l’âme étant liée au sang d’après la tradition biblique). L’état du sang étant le reflet de l’âme, Sodome inverse la conscience (l’esprit) qui est intimement liée à l’âme. Le corps astral du sodomite est retourné, impropre à un développement régulier, ce qui a rendu la pratique homosexuelle prohibée dans les ordres initiatiques.

    Or, certaines organisations occultes en ont fait un rituel magique pour formater des jeunes gens qui ont été placés à des postes importants dans l’administration. Cela explique pourquoi notre culture médiatique qui se veut si tolérante à ce sujet, préconise la reconnaissance de l’homosexualité et le mariage entre homosexuels. Ainsi, de fil en aiguille, on pourra justifier les adoptions d’enfants par des couples homosexuels et les bébés de laboratoires à leur usage. Avec Sodome, la science matérialiste qui est une inversion de la Science spirituelle, est victorieuse. Elle pourra générer une race de mutants humanoïdes orientés exclusivement vers le plan terrestre. C’est le but politique de certaines loges, sinon la Gay Pride ne pourrait défiler dans les rues. Sans une compréhension des processus ésotériques (Ndr : cachés, occultes) qui induisent l’homosexualité, on ne peut comprendre son impact dans notre culture, et pourquoi cette pratique est une arme révolutionnaire pour accélérer l’ordre mondial technocratique (Ndr : société de type Ummite, luciférienne).

    Joel Labruyére

     

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